Représentations théâtrales des 4 - 8 10 et 11 mars 2018.
"LA DEGRINGOLADE" comédie burlesque de Jean Claude Martineau fut encore un énorme succès, près de 1200 entrées pour les 4 représentations.
Un grand MERCI à la troupe de l'AMIRA
et à son metteur en scène Henri Mortier.
Nous avons eu des" sueurs froides", suite à un problème de santé de Rémi, mais Henri a réussi à trouver un "acteur intérimaire", pour jouer le rôle.
Un grand MERCI à Didier
Voici le Scénario
Tout baigne pour Marguerite (qui se fait appeler Mégie par snobisme) entre sa sœur qu'elle a élevée dont elle est très fière et son cuisinier de mari dans ce restaurant de renom qu’elle dirige d’une main de fer. Tout baigne ? Pas tant que ça !
En fait, le restaurant est en chute libre, les comptes sont dans le rouge à la banque, aucun employé ne peut résister à la dictature de Mégie et Hubert, son mari, s’avère être un piètre cuisinier lorsqu’il officie seul. De surcroît, Georges Renard, son beau-père et fondateur de l’établissement, a complètement disjoncté à la perte de sa deuxième étoile et Angèle, la vieille domestique refuse désormais de s’en laisser compter.
Voilà de quoi ébranler la tour d’ivoire dans laquelle Mégie règne, sûre d’elle-même, de ses opinions et de son bon droit.
Il ne manquait plus que l’arrivée de Lucien, (frère de Hubert ) qui, par dégoût de la vie bourgeoise, s'est fait clochard et revient, comme tous les ans à la même époque, accompagné de sa copine Nini, chercher le gîte et le couvert dans le restaurant dont il est encore le copropriétaire et qu’il a laissé aux bons soins de son frère Hubert.
C’est aussi le moment que choisit la prude et trop réservée Marie-Sophie pour tomber amoureuse du timide François, le cuistot intérimaire (la honte !) et se faire embarquer par les CRS au cours d’une manif d’étudiants dont elle est le leader et l’agitatrice (Re-honte !). Même Georges, « le fondateur du restaurant », ce grand-père modèle, un peu amnésique certes, s’en mêle en dévoilant brusquement une fâcheuse tendance au jeu, aux dettes qui généralement l’accompagnent, à la dive bouteille et aux chansons paillardes. Pas du tout, mais alors pas du tout le genre de la maison ! Et tout cela en compagnie de Louis-Etienne de Courtepatte, le fils du notaire, ce fils de bonne famille que Mégie rêvait de présenter à Marie-Sophie….. Ajoutons à cela les timides et déconcertantes demandes en mariage de François, la disparition temporaire de Georges, la rébellion d’Angèle, le vol de la caisse du restaurant (qui n’avait pas besoin de cela !), celui d’un manuscrit de valeur à la veille de son édition et nous avons là tous les ingrédients d’une excellente comédie qui devrait, deux heures durant, faire péter un câble à Mégie et ravir les spectateurs.
Distribution des rôles
Hubert : Daniel Lavoquet - Marguerite : Béatrice Lorieux
Lucien : Rémy Sochas - Marie Sophie : Chantal Courbet
Georges : Jean-Yves Pichon - François : Rémy Cornuaille
Angèle : Jacqueline Oger - Denise : Janine Paillusson
En remplacement de Rémy dans le rôle de Lucien
pour les séances du 10 et 11 mars : Didier Grasland
La troupe avec Rémy Sochas
La troupe avec Didier Grasland
Didier Grasland dans le rôle de Lucien en remplacement de Rémy
Et aussi tous les travailleurs de l'ombre, décors , bar, accueil, administratifs etc.....
qui sans eux cette réussite n'aurait pas eu lieu ....
Et pour terminer, le verre de l'amitié
en compagnie de Jean Claude Martineau, auteur de la pièce.
BRAVO A TOUS ! et ... à l'année prochaine......
Texte : Gérard - Photos : Yves et Jean - Mise en ligne : Annick